Qu’en est-il du climat social et des conséquences de sa dégradation ?
Tout d’abord, regardons d’un peu plus près les bénéfices.
Il favorise l’engagement, la productivité, la qualité des taches à exécuter, la solidarité, il représente la personnalité de l’entreprise en externe et il contribue à instituer un sentiment de justice chez les employés, à instaurer une qualité de vie au travail et à renforcer un sentiment d’appartenance. Elément supplémentaire et pas des moindres: les conséquences du bon climat social est un phénomène qui s’autoalimente.
Quelques indicateurs d’un climat social tempéré.
Qualité du travail, communication ascendante, bonne humeur, esprit d’entraide, solidarité, confiance réciproque, liberté d’expression en cas de désaccords et recherche collective à les solutionner, d’où dédramatisation rapide des conflits, assiduité, ponctualité, circulation de l’information.
Comment améliorer le climat social lorsqu’il est dégradé?
Plusieurs leviers du dirigeant:
– La formation des collaborateurs et du management
– Les conditions de travail : investir dans un relooking des espaces de travail, du matériel,…
– L’embauche et la stabilisation des équipes
– Le développement de la communication interne : objectifs et stratégie à moyen terme, perspectives d’évolution, valoriser les résultats…
– Les possibilités d’évolution
– La rémunération

En conclusion
Le climat social s’évalue par le dirigeant par le degré de satisfaction de l’ensemble des acteurs d’une organisation.
Quoiqu’il en soit, un bon climat social se cultive d’abord par l’intérêt porté par le chef d’entreprise à ses équipes, mais également et surtout par le respect et la bienveillance apportés à chacun.